Un vent de liberté souffle sur ton visage
Que la nature est belle,
Et que le coeur me fend —
Marie-toi, sois heureuse, et pense à moi souvent
Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses
Quand tout sera fini, plus tard, fais un enfant.
merci à Aragon et à Cyrulnik, qu’ils me pardonnent eux aussi de les avoir détournés.